Construire une politique de bien-être et de santé au travail permet à la fois de réduire les risques psychosociaux (RPS) comme le stress et la fatigue. Mais aussi d’agir sur le climat collectif ainsi que sur la motivation dans le travail et contre l’absentéisme et présentisme (source INRS – santé et sécurité au travail)
La mise en œuvre de cette politique peut aussi contribuer à prévenir et lutter contre un certain nombre de tensions comme les troubles musculosquelettiques (TMS), mal de dos et lombalgies.
27 % des salariés en français sont désengagés. Si bien que les entreprises perdent de leur valeur ajoutée.
Construire, améliorer la qualité de vie ou le bien-être au travail est avant tout un geste pour les collaborateurs mais c’est également un levier stratégique de la performance des entreprises. C’est pourquoi, les entreprises qui mettent en place des actions pour la qualité de vie au travail ont en moyenne un taux de turnover deux fois plus faible que les autres entreprises.
L’étude menée, en 2017, par le MIT et Harvard l’illustre bien :
1 salarié heureux est :
Un exemple frappant : en moyenne, 1 euro investi pour une intervention sur la qualité de vie au travail
rapporte minimum entre 2 et 4 euros à l’entreprise.
Les raisons de ce gain ?
Les problèmes de santé des salariés peuvent impacter l’entreprise et représenter un coût direct comme le remplacement, aménagement du poste de travail ….. Mais aussi un cout indirect : restructuration de l’équipe, perte de productivité où indemnités dans le cadre d’un arrêt de travail professionnel
56% des actifs pensent que leurs exigences et leurs attentes vont évoluer, notamment sur le plan des conditions de travail.
C’est pour cela que les Français actifs mettent en avant les critères de choix suivant, pour travailler dans une entreprise à l’horizon 2025 :
La notion de risques psychosociaux (RPS) désigne en France “les risques pour la santé mentale, physique et sociale, engendrés par les conditions d’emploi et les facteurs organisationnels et relationnels susceptibles d’interagir avec le fonctionnement du mental” (définition de l’INRS – Institut National de Recherche et de Sécurité).
Les RPS regroupent entre autre le stress au travail ainsi que l’épuisement professionnel, et, n’épargnent aucun secteur d’activité. Les risques psychosociaux ont un impact sur le fonctionnement de l’entreprise comme sur l’absentéisme, turnover, ambiance de travail…
Au point que le salarié sera en souffrance au travail.
Les troubles musculo-squelettiques (TMS) sont des maladies qui touchent les articulations, les muscles et les tendons. Et sont notamment localisées au niveau ou autour des articulations : poignets, coudes épaules, rachis ou encore genoux.
Ils se manifestent plus précisément par des douleurs et des gênes dans les mouvements qui, sans mesure de prévention, peuvent entraîner à terme une incapacité au travail par conséquent.
Troubles musculo-squelettiques et mal de dos sont les maladies professionnelles les plus fréquentes.
Les principaux facteurs de risques sont :
Les troubles musculosquelettiques comme les risques psychosociaux ont un impact sur le fonctionnement de l’entreprise : absentéisme, turnover, ambiance de travail… Mais aussi une baisse des performances, nécessité d’adapter les postes de travail, difficultés à réaliser son travail ect …
Consiste pour un salarié à se rendre au travail avec un problème de santé physique ou psychologique, ce qui l’empêche d’être productif.
Mais aussi d’être présent au travail tout simplement sans produire un travail concret.
Le présentéisme peut être le signe d’une démotivation ou d’une souffrance.
Les conséquences du présentéisme :
En bref, correspond à l’absence de manière répétée, régulière du salarié, hors périodes de congés, sur son lieu de travail.
Si bien que cela peut poser d’importantes difficultés puisque l’absentéisme perturbe le fonctionnement de l’entreprise. Dans les grandes lignes : retard sur les projets professionnels, affaiblissement de la productivité et de la performance de l’entreprise, stress supplémentaire pour les autres salariés, répartition des tâches de travail à d’autres salariés pas toujours apprécié…, coût de remplacement élevé pour l’employeur, détérioration du climat social…
Nombreux sont les programmes bien-être au travail. Au point que ceux-ci ont une influence directe sur la performance des salariés et donc sur les résultats de l’entreprise.
En tant que Responsable des ressources humaines, dirigeant ou encore membre du CSE (Comité Social et Economique), vos attentes sont différentes. Néanmoins avec un but commun : chercher des programmes visant à améliorer la santé physique et mentale de vos salariés. Qu’ils soient aussi bien collectifs, qu’individuels, de manière ponctuelle, comme au travers de journées spéciales, ou récurrente.
Pour en savoir plus, n’hésitez pas à lire, sur le blog, l’article : » Ateliers en entreprise, le bien-être au travail «
Mes prestations en entreprise de massage Amma assis et d’automassage DO IN s’inscrivent parfaitement dans une démarche d’amélioration de la qualité de vie au travail.
Mais aussi dans une démarche de prévention car elles contribuent à lutter et réduire les coûts liés aux risques psychosociaux, le présentéisme, l’absentéisme et les troubles musculosquelettiques. Et ainsi réduire les coûts qui y sont associés.
Allier des séances individuelles de massage Amma assis avec des ateliers collectifs d’automassage DO IN, pour vos salariés, est une combinaison idéale : le massage Amma assis permet un relâchement de la charge mentale et physique en contribuant à un état de bien-être, de vitalité profonde et pérenne. Tandis qu’avec l’automassage, vous donnez à vos salariés des outils pour gérer leur stress et s’énergiser en autonomie à tout moment.